En entrant dans l’espace d’accueil du premier niveau du parking souterrain de la rue de Harlay, vous aurez la surprise de tomber sur un vestige datant du XIIIème siècle. Il s’agit d’une partie du mur de clôture de l’ancien jardin de la propriété royale sur l’île de la Cité. Découvert en 1996 lors des fouilles archéologiques dans le cadre de l’extension du parking Harlay Pont Neuf, ce vestige a été dégagé sur 14 mètres de long sur 5 mètres de hauteur pour être remonté à l’accueil de ce même parking. De 1160 jusqu’en 1607 et la création de la Place Dauphine, la pointe ouest de l’île de la cité accueillait un jardin d’agrément et un vaste verger encerclé par une enceinte datant du XIIIème siècle, percée par une porte donnant un accès direct à la Seine. Le jardin possédait quatre compartiments séparés par des tonnelles en acier avec un grand nombre d’arbres fruitiers et de fleurs.
Lilou Turpin
24 novembre 2019 à 16 h 26 min
« Squelettes d’arbres morts ou mourants, murs effondres, jardins a l’abandon, friches », le debut de l’article annonce la couleur, ce qui fait rugir les specialistes de Versailles. « Ce qui nous derange c’est que c’est un article a charge », peste Antoine Jacobsohn, le jardinier responsable du Potager du roi. Au gre des lignes, les attaques se multiplient : « Une magnifique architecture vegetale (qui) fait peine a voir », « la pire de toutes (les erreurs) est sans conteste l’arret brutal de tout traitement phytosanitaire », « nombre de jeunes arbres meurent d’avoir ete blesses par le fil des debroussailleuses ».
Bonjour Lilou, je suppose que vous faites référence au potager du roi laissé à l’abandon à Versailles ? Si oui, quel est le rapport avec le Mur d’enceinte du jardin du Roi à l’Ile de la Cité ? Merci 🙂
Lilou Turpin
24 novembre 2019 à 16 h 26 min« Squelettes d’arbres morts ou mourants, murs effondres, jardins a l’abandon, friches », le debut de l’article annonce la couleur, ce qui fait rugir les specialistes de Versailles. « Ce qui nous derange c’est que c’est un article a charge », peste Antoine Jacobsohn, le jardinier responsable du Potager du roi. Au gre des lignes, les attaques se multiplient : « Une magnifique architecture vegetale (qui) fait peine a voir », « la pire de toutes (les erreurs) est sans conteste l’arret brutal de tout traitement phytosanitaire », « nombre de jeunes arbres meurent d’avoir ete blesses par le fil des debroussailleuses ».
Gino
28 novembre 2019 à 21 h 27 minBonjour Lilou, je suppose que vous faites référence au potager du roi laissé à l’abandon à Versailles ? Si oui, quel est le rapport avec le Mur d’enceinte du jardin du Roi à l’Ile de la Cité ? Merci 🙂