Lorsque la nappe phréatique n’était pas trop profonde (< à 10m), les puits étaient remplacés par des pompes à eau, plus maniables et pratiques (c’est le cas dans les quartiers du Marais et du Temple). En 1880, on dénombrait 2 000 bornes fontaines alimentées par ces pompes à eau et situées en majorité dans des cours d’immeubles. L’arrivée de l’eau courante et le démantèlement de ces dernières pour l’utilisation de leurs métaux durant les 2 guerres mondiales les firent rapidement disparaître de la capitale. 83 vestiges ont tout de même résisté à l’épreuve du temps et existent encore aujourd’hui dans la capitale.
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