En 1975, tous les composants du réseau d’éclairage public au gaz de la région parisienne passèrent en électrique, sauf deux réverbères équipés de becs au gaz, situés à Malakoff. Grâce à la levée de boucliers de quelques habitants de la ville qui s’opposèrent fermement à leur électrification, ces éléments restèrent en l’état. En 2000, le réverbère à bec à gaz de l’impasse Ponscarme, dont 2 copies avait été réalisées quelques années auparavant, fut finalement électrifié à son tour. Aujourd’hui, celui du sentier du tir fait encore de la résistance et une association « Les Amis de Léon » l’entretient régulièrement. Son bec Auer est encore en service et continuer à brûler nuit et jour afin de préserver le mécanisme vieux de 100 cent ans, qui pourrait être endommagé en cas d’allumage et d’extinction intempestifs.
Quel est le lien entre le réverbère « Léon » et monsieur N…prénommé Léon ?
« Mon grand-père », m’a dit un monsieur rencontré par hasard sur le site. Je n’ai pas eu le réflexe de lui poser la question ci-dessus.
Employé du gaz ? Fondateur de l’association qui défend le maintien de ce dernier bec de gaz ?
Je vous avoue ne pas avoir de réponse à vous apporter. Lors de mes recherches, je n’ai pas relevé de Mr Léon qui aurait pu prêté son prénom à ce réverbère mais peut-être ais-je loupé une information importante… Avis à la communauté 😉
DESGRANGE
30 juin 2018 à 13 h 07 minQuel est le lien entre le réverbère « Léon » et monsieur N…prénommé Léon ?
« Mon grand-père », m’a dit un monsieur rencontré par hasard sur le site. Je n’ai pas eu le réflexe de lui poser la question ci-dessus.
Employé du gaz ? Fondateur de l’association qui défend le maintien de ce dernier bec de gaz ?
gino
30 juin 2018 à 23 h 11 minBonjour,
Je vous avoue ne pas avoir de réponse à vous apporter. Lors de mes recherches, je n’ai pas relevé de Mr Léon qui aurait pu prêté son prénom à ce réverbère mais peut-être ais-je loupé une information importante… Avis à la communauté 😉