Avant leur interdiction par la loi Marthe-Richard, le 13 avril 1946, les maisons closes devaient faire preuve d’une certaine discrétion. Les clients ou curieux de passage pouvaient cependant repérer facilement la façade d’une maison close qui se distinguait architecturalement du reste des bâtiments aux alentours : judas grillagé, fenêtres opaques ou encore porte d’entrée couronnée d’un gros numéro comme celle de la rue Ballu.
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